•   "Les cathédrales,hôtels de ville,basiliques et églises"
     
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    La basilique de "Notre Dame de Lourdes"
    La basilique Notre-Dame-du-Rosaire est une basilique au cœur des sanctuaires de Lourdes, important centre français de pèlerinage marial, dans les Hautes-Pyrénées. Située devant la basilique de l’Immaculée-Conception, la basilique a été construite de 1883 à 1889 sur les plans de Léopold Hardy et consacrée en 1901.
    De style romano-byzantin, elle forme une croix grecque et permet d’accueillir 1 500 fidèles.
    Autour de la coupole centrale, les deux bras du transept et le chœur sont percés de chapelles rayonnantes ornées de mosaïques qui aident à méditer les quinze Mystères du Rosaire (plus précisément les mystères joyeux, douloureux, glorieux et les mystères lumineux n’ayant été introduits par le pape Jean-Paul II qu’en 2003, ils sont à l'extérieur de la basilique).
     
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    Dans le fond la Cathédrale de Chartres
    La cathédrale Notre-Dame de Chartres, en France, est le monument emblématique de la préfecture du département d'Eure-et-Loir, située à 80 kilomètres au sud-ouest de Paris. Elle est considérée comme la cathédrale gothique la plus représentative, la plus complète — ainsi que la mieux conservée (majorité des sculptures, vitraux et dallage d'origine) bien qu'elle soit construite avec les techniques de l'architecture romane, montrant ainsi la continuité et non la rupture entre ces deux types d'architecture.
    L'actuelle cathédrale, de style gothique dit « lancéolé », a été construite au début du xiiie siècle, pour la majeure partie en trente ans, sur les ruines d'une précédente cathédrale romane, détruite lors d'un incendie en 1194.
    Grand lieu de pèlerinage, cette cathédrale et ses tours dominent la ville de Chartres et la plaine de la Beauce alentour. Elles s'aperçoivent à plusieurs dizaines de kilomètres de distance.
    La cathédrale fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1862. Par ailleurs, la cathédrale a été parmi les premiers monuments classés au patrimoine mondial par l'UNESCO en 1979.
     
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    "La cathédrale d'Amiens" 
    La cathédrale Notre-Dame d’Amiens est la plus vaste de France par ses volumes intérieurs (200 000 m3). Avec les cathédrales de Chartres, de Reims et de Bourges, elle est considérée comme l'archétype du style gothique classique, comprenant aussi des éléments des phases suivantes du style gothique, du gothique rayonnant (notamment le chevet) et du gothique flamboyant (notamment la grande rosace de la façade occidentale, la tour nord et les stalles). Sa longueur hors œuvre est de 145 mètres et sa hauteur sous voûte de 42,30 mètres (proche du maximum supportable pour cette architecture).
    Monument historique en France depuis 1862, elle est inscrite depuis 1981 au patrimoine mondial de l'UNESCO.
     
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    "Notre Dame de Paris"
    Notre-Dame de Paris, parfois simplement Notre-Dame, est la cathédrale de l’archidiocèse catholique de Paris.
    Notre-Dame de Paris n’est pas la plus vaste des cathédrales françaises, mais elle est l’une des plus remarquables qu’ait produites l’architecture gothique en France et en Europe. Elle fut lors de son achèvement la plus grande cathédrale d’occident. Ce chef-d’œuvre, l’un des symboles les plus connus de la capitale française, est situé à l’extrémité est de l’île de la Cité, centre historique de la ville, tout près des berges de la Seine, dans le quatrième arrondissement de Paris. Sa façade occidentale domine le parvis Notre-Dame - place Jean-Paul-II.
    La construction s’étant étendue sur de nombreuses décennies (deux siècles) sur l’emplacement d’anciens temples païens, le style n’est pas d’une uniformité totale ; elle possède ainsi des caractères du gothique primitif (voûtes sexpartites de la nef) et du gothique rayonnant : on remarque particulièrement l’audace des arcs-boutants du chœur. Sa façade occidentale est un chef-d’œuvre d’équilibre architectural.

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    L'autre face de "Notre Dame de Paris"
    Après la tourmente révolutionnaire, la cathédrale a subi de 1844 à 1864 une restauration importante et parfois controversée dirigée par l’architecte Viollet-le-Duc, qui y a incorporé des éléments et des motifs que le monument légué par le Moyen Âge n’avait jamais possédés.
    Les deux rosaces qui ornent chacun des bras du transept, sont parmi les plus grandes d’Europe et mesurent chacune 13 mètres de diamètre.
    Une plaque de bronze incrustée dans le sol de son parvis sert de point zéro de toutes les distances routières calculées à partir de Paris. D’autre part, la cathédrale constitue pour l’IGN un site NTF d’ordre 52, sa flèche étant un point géodésique, c’est-à-dire qu’on connaît avec précision ses coordonnées géographiques, (600 985,75 m, 128 058,65 m) en Lambert I, et son altitude, 126,7 m en NGF - IGN693.
     
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    "Hôtel des invalides"
    L’hôtel national des Invalides est un monument parisien dont la construction fut ordonnée par Louis XIV par l'ordonnance du 24 février 1677, pour abriter les invalides de ses armées. Aujourd'hui, il accueille toujours des invalides, mais également plusieurs musées et une nécropole militaire.
     
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    "Hôtel Dieu de Beaune"
    Les Hospices de Beaune ou Hôtel-Dieu de Beaune est un ancien établissement hospitalier du xve siècle, devenu aujourd'hui musée, situé à Beaune en Bourgogne.
    Sa fondation par le chancelier Nicolas Rolin remonte à 1443, est achevée en 1457. Il est célèbre, tant par son architecture traditionnelle bourguignonne que par son prestigieux vignoble bourguignon dont la production est vendue aux enchères sous le nom de vente des hospices de Beaune.
     
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    "Hôtel de ville de Douai" 
    Symbole des libertés communales, le beffroi se dresse fièrement au coeur de la ville depuis 600 ans tel que l'a décrit Victor Hugo en 1837 :
    "Figure-toi une tour gothique, coiffée d'un toit d'ardoises, qui se compose d'une multitude de petites fenêtres coniques superposées sur chaque fenêtre une girouette aux quatre coins, une tourelle sur la pointe du beffroi, un lion qui tourne avec un drapeau dans les pattes et de tout cet ensemble si amusant, si fou, si vivant, il sort un carillon. Dans chaque petite lucarne, on voit se démener une petite cloche qui fait rage comme une langue dans une gueule".
     
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    "Cathédrale de Sainte Cécile d'Albi"
     
    La cathédrale Sainte-Cécile d'Albi est une église cathédrale de l'archidiocèse d'Albi situé dans le département du Tarn en France. Elle est posée sur un piton rocheux qui domine le Tarn et est la plus grande cathédrale de brique du monde. Un siècle aura été nécessaire pour son édification, de 1282 à 1390.
    La cathédrale Sainte-Cécile, classée avec la cité épiscopale d'Albi depuis le 31 juillet 2010 sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO, est aujourd'hui l'une des cathédrales les plus visitées de France. Le siège archiépiscopal est vacant en mai 2010, depuis que Mgr Pierre-Marie Carré est devenu archevêque coadjuteur de Montpellier, dont il doit devenir archevêque titulaire à la succession de Mgr Guy Tomazeau. L'intérim est assuré par un administrateur diocésain élu le 10 septembre 2010 par le Conseil des consulteurs, le père Bruno Bories.
    Elle surprend par le contraste entre son allure extérieure austère de forteresse militaire et la richesse picturale et sculpturale de son intérieur.
     
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    "Basilique Sainte Anne d'Auray"
    L’histoire de Sainte-Anne d'Auray est très lié à la religion chrétienne.
    Sainte-Anne-d’Auray (ou Keranna en breton) est le principal lieu de pèlerinage de la Bretagne. On y vient depuis 1625, pour commémorer l'apparition de Sainte Anne, grand-mère maternelle de Jésus-christ, à Yves Nicolazic. Tous les étés, le 26 juillet, un pèlerinage y a lieu : le pardon de Sainte Anne.
    On compte une moyenne de 800 000 pèlerins par an à Sainte-Anne-d'Auray.
    Jean-Paul II y est venu en pèlerinage le 20 septembre 1996 où il a rassemblé 150 000 personnes, première visite d'un pape en Bretagne.
    Sainte-Anne-d'Auray a longtemps fait partie de la paroisse et commune de Pluneret. La paroisse de Sainte-Anne d'Auray est née le 1er août 1937. Elle a été fondée en regroupant le domaine du sanctuaire, l'ancien Keranna et plusieurs villages à la paroisse de Pluneret. D'autres villages ont été pris à la paroisse de Plumergat.

    Ce n'est que le 26 février 1950 que Sainte-Anne-d'Auray a également été érigée en commune.
     
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    "Basilique de notre Dame de Lourdes"
    Autre vue
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    "Basilique du Sacré Coeur"
    La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur. Sa construction fut décrétée par une loi votée par l'Assemblée nationale de 1871 en juillet 1873 dans le cadre d'un nouvel « Ordre moral » faisant suite aux événements de la Commune de Paris. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an (en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la cathédrale Notre-Dame de Paris.
     
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    "Basilique de notre Dame-de-la-Garde" 
    Notre-Dame de la Garde, également appelée localement « la Bonne Mère » est une des basiliques mineures de l'Église catholique romaine. Elle est située sur un piton calcaire de 149 mètres d'altitude au sud du Vieux-Port de Marseille, surélevé de 13 mètres grâce aux murs et soubassements d'un ancien fort.
    Construite par l'architecte Henri Espérandieu dans le style romano-byzantin et consacrée le 5 juin 1864, elle remplace une chapelle du même nom édifiée en 1214 et reconstruite au xve siècle. Bâtie sur les bases d'un fort du xvie siècle construit par François Ier en 1536 pour résister au siège de Charles Quint, la basilique comporte deux parties : une église basse, ou crypte, creusée dans le roc et de style roman, et au-dessus une église haute de style romano byzantin décorée de mosaïques. Au sommet d'un clocher carré de 41 mètres de haut surmonté lui-même d'une sorte de tour de 12,5 mètres qui lui sert de piédestal, se dresse une statue monumentale de 11,2 mètres de la Vierge à l'Enfant réalisée en cuivre doré à la feuille.
    La pierre utilisée pour la construction, notamment celle de couleur verte en provenance des environs de Florence, s’étant révélée sensible à la corrosion atmosphérique, il a été nécessaire d’entreprendre de 2001 à 2008 une longue et minutieuse restauration qui a également porté sur la rénovation des mosaïques, endommagées à la Libération par les impacts de balles et noircies au fil du temps par la fumée des cierges.
    À Marseille, Notre-Dame de la Garde est traditionnellement considérée par la population comme la gardienne et la protectrice de la cité.
     
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    "Basilique de Saint-Sernin" 
    La basilique Saint-Sernin de Toulouse est un sanctuaire bâti pour abriter les reliques de saint Saturnin évêque de Toulouse, martyrisé en 250. Devenu l'un des plus importants centres de pèlerinage de l'Occident médiéval, elle fut desservie, depuis le ixe siècle au plus tard et jusqu'à la Révolution française, par une communauté canoniale. Saint-Sernin est la plus grande église romane conservée en Europe.
    La rue du Taur qui mène de la place du Capitole à la basilique tire d'ailleurs son nom des circonstances du martyre, Saturnin ayant été tiré par un taureau furieux sur ce qui était alors une route sortant de la ville. L'édifice conserve 260 chapiteaux romans1 et est le symbole de l'architecture romane méridionale. Toulouse recevait alors la visite de nombreux pèlerins sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle, ou venus honorer les reliques de saint Saturnin.
    La basilique Saint-Sernin fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840.
     
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    "Eglise abbatiale Saint-Philbert-de-Granlieu"
    L'abbatiale de Saint-Philbert-de-Grand-Lieu est l'abbatiale de l'ancienne abbaye fondée au ixe siècle par des moines bénédictins et située à Saint-Philbert-de-Grand-Lieu en France.
    L'abbatiale, édifice de style carolingien, a accueilli un temps le corps de saint Philibert dont la commune tirera son nom. Suite à l'attaque du site par les Normands, les moines s'enfuient avec le corps du saint et se réfugient à Tournus. La communauté se reforme alors pour fonder un prieuré. Utilisée au xixe siècle comme marché couvert, l'abbatiale ne sert alors plus à la célébration du culte. Des fouilles mettent au jour le sarcophage du saint et l'édifice est classé au titre des monuments historiques en 1896. L'abbatiale est réaffectée au culte depuis 1936. C'est aujourd'hui l'un des monuments importants du pays de Retz ouvert aux visiteurs.
     
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